Du 19 au 25 juin, la #MuseumWeek met les femmes du monde entier à l’honneur. Femmes au-delà des mers s’associe à l’événement et rediffuse chaque jour un portrait de femme sur ses comptes Facebook et Twitter.
Né en France et soutenu par l'UNESCO, la #MuseumWeek est un événement culturel en ligne utilisant les réseaux sociaux pour promouvoir la culture et l'engagement à travers le monde. Durant cette semaine, des galeries, des bibliothèques, des centres d’archives et des musées du monde entier publient sur les réseaux sociaux des images d’œuvres de leur collection en rapport avec la thématique de cette année : les femmes et leur contribution au patrimoine culturel.
Femmes et culture, deux composantes fondamentales de l’identité de Femmes au-delà des mers qui s’associe avec enthousiasme à l’événement. Toute cette semaine, notre association poste sur ses comptes Twitter et Facebook des portraits de femmes parmi les plus emblématiques de ceux qu’elle a réalisés. On commence ce lundi avec le portrait d’Anita Bazir la tradition culinaire guadeloupéenne.
Suivez nous sur nos comptes Facebook et Twitter. N’hésitez pas à relayer et liker nos posts.
Gisèle Bourquin, était récemment l’invitée de Malick Catayée, l’animateur de l’émission de radio Plein Soleil diffusée sur Outre-Mer 1ère. La présidente de Femmes au-delà des mers est revenue sur l’historique de l’association et a détaillé les nombreuses actions menées par FAM.
Le 31 mars 2016, Femmes au-delà des mers participait à un colloque sur l’engagement citoyen des femmes organisé par la délégation aux droits des femmes du Sénat. Le Sénat diffuse sur son site la vidéo de ce colloque. Pour retrouver l’intervention de la présidente de FAM, Gisèle Bourquin, faites glisser le curseur du player vidéo ci-dessous à 1 heure et 5 minutes et à 2 heures et 45 minutes.
Cofondatrice avec son époux, Michel Leveau, de la Fondation Dapper en décembre 1983, Christiane Falgayrettes-Leveau répond aux question de Femmes au-delà des mers.
https://youtu.be/Bmww5SonP3w?list=PL8in-nRmBRMKKrMlIkoLXje8iP2S73kI6
Flora Aurima Devatine, figure majeure de la littérature polynésienne, a dédicacé son dernier recueil Au vent de la piroguière le 30 mars dernier à la Délégation de la Polynésie française. Une soirée organisée par Femmes au-delà des mers.
L’événement a eu lieu en présence de Caroline Tang, Déléguée de la Polynésie française, Gisèle Bourquin, présidente de femmes au-delà des mers et Bruno Doucey, l’éditeur de Flora Aurima Devatine qui a raconté sa rencontre avec la poésie de l’auteur, exprimant la confluence de leur vision poétique.
Le recueil de l’auteur, présenté au Salon Livre de Paris 2017, a été expliqué au public par Estelle Castro-Koshy, spécialiste de la littérature australienne et polynésienne. La chercheuse a abordé aussi d’autres aspects du travail de Flora Aurima Devatine, mettant en lumière la femme poète, la richesse de son œuvre, l’apport de sa réflexion dans tous les domaines : poésie, culture, langue, oralité, philosophie, politique, éducation…
Flora Aurima Devatine a ensuite lu un extrait de l’un de ses poèmes sur la femme polynésienne qui réhabilite la Vahine, victime du mythe occidental. Elle s’est aussi exprimée sur les lieux de son enfance, sur ses écrits, sa poésie.
Émotions et échanges avec le public
Très émue par cette soirée et les éloges successifs que lui ont adressés les invités et les intervenants, Flora Aurima Devatine, a exprimé ses remerciements, notamment à Gisèle Bourquin pour l’organisation de la soirée. Elle a souhaité rendre hommage à son éditeur dont elle a loué le travail pour la promotion de son recueil qui lui a notamment ouvert les portes de plusieurs radios et télévisions francophones.
La diffusion d’une interview vidéo de l’auteur réalisée par Nisma Berkouche pour Femmes au-delà des mers et intitulée Sur la route des mots a été un des moments forts de la soirée. Il a suscité un vif intérêt auprès du public et donné lieu à de nombreux échanges sur la poésie, sur la langue tahitienne, sur l’écriture, sur la transcription, sur les langues à tons comme la langue chinoise, sur les Maoris…
Pour terminer en beauté la soirée, Flora Aurima Devatine a accepté de bonne grâce de réaliser une performance sur le battage du Tapa avant de se prêter à une séance de dédicaces.
Du 5 au 18 décembre, le Train des Outre-mer sillonne la France métropolitaine à la rencontre du grand public. Et Femmes au-delà des mers fait partie du voyage…
Découvrir les territoires d’Outre-mer, en train aussi c’est possible. Du 5 au 18 décembre, le train des Outre-mer (TOM) fait escale dans 12 villes de France, de Lille à Brest en passant par Paris, Strasbourg, Lyon, Marseille, Toulouse, Libourne, Montpellier, La Rochelle, Tours et Nantes.
Au programme : des conférences, des expositions, des espaces d’information, d’animations interactives… Cette initiative a pour objectif de valoriser les territoires d’Oure-mer, leur potentiel de développement, d’innovation, leur culture… Il s’agit de les faire mieux connaître au grand public de façon à la fois sérieuse, instructive et ludique.
Un stand pour Femmes au-delà des mers
L’équipe de Femmes au-delà des mers sera présente aux escales de Paris et Marseille et Nantes. L’espace qui lui est dédié sera néanmoins visible à chaque étape avec des affiches présentant l’association et son action ainsi qu’un écran diffusant des portraits de femmes en vidéo réalisés par l’association.
Le TOM est ouvert au public de 10h30 à 18h30. Inutile d’acheter un billet, l’entrée est gratuite pour tous.
Retrouvez-nous à la 11ème remise du prix Senghor ce vendredi 29 septembre au centre Wallonie Bruxelles à Paris.
Dans le cadre du Festival Francophonie Métissée, manifestation axée autour de la thématique des identités plurielles et métissées. Dominique Loubao, Anne Lenoir vous invitent à la 11ème édition du Prix Senghor au centre Wallonie Bruxelles à Paris. Femmes au-delà des mers, partenaire de l’ événement, serait heureuse de partager ce moment avec vous .
Au plaisir de vous rencontrer .
Réservation souhaitée : 01 53 01 96 96 ou réservation@cwb.fr
Centre Wallonie Bruxelles
129 Rue Saint-Martin, 75004 Paris
Métro Rambuteau
de 19h à 22h
Entrée libre
Les invités profitent de quelques spécialités culinaires ultramarines lors de l’assemblée générale de l’association.
A l’occasion de son assemblée générale, Femmes au-delà des mers a fait le bilan : un accroissement notable de son activité et le besoin toujours plus grand de bénévoles compétents et motivés pour accompagner ce développement.
En juin dernier, Femmes au-delà des mers organisait son assemblée générale dans les locaux de la Maison des Associations du 16ème arrondissement à Paris. Devant un public nombreux, la présidente Gisèle Bourquin a fait le bilan d’une année 2015 intense et rappelé les défis qui attendent l’association dans les mois et les années à venir.
Gisèle Bourquin, a rappelé le positionnement particulier de l’association qui fait son originalité et qui suscite l’intérêt de diverses organisations et institutions mais aussi d’hommes et de femmes de tous horizons. « Avec leur concours nous souhaitons souligner l’apport essentiel de la femme dans une évolution harmonieuse du monde », a déclaré la présidente.
Des chantiers ambitieux
Femmes au-delà des mers mène de front de nombreux projets ambitieux autour des thématiques stratégiques de l’association : la valorisation de l’apport des femmes d’Outre-mer, la promotion des cultures ultramarines et le développement d’un réseau d’échanges et de transmission des savoirs.
Parmi les projets phares de l’association figurent :
la mise en place d’une communication réactive et efficace, notamment sur les réseaux sociaux.
La présidente a rappelé que Femmes au-delà des mers bénéficie de la reconnaissance et du soutien d’un certain nombre d’institutions et notamment de la délégation à l’Outre-mer de la Ville de Paris, la Délégation interministérielle à l’égalité des chances, le Ministère de l’Outre-mer, les conseils régionaux de Martinique et de Guyane, la Mairie du 16ème arrondissement de Paris, etc.
Trouver les bons collaborateurs pour accompagner le développement de l’association
Les efforts de l’association portent leurs fruits et la montée en puissance des projets impose d’identifier et d’impliquer des personnes compétentes et motivées. Femmes au-des mers cherche avant tout des bénévoles. En effet, à l’instar du secteur associatif dans son ensemble, FAM fait face à une baisse des subventions problématique et doit à la fois limiter ses coûts et trouver de nouveaux financeurs.
Gisèle Bourquin a rappelé que l’association bénéficie en interne de l’apport précieux de ses adhérents et sympathisants aux compétences multiples, volontaires et enthousiastes. La présidente a notamment souligné l’implication des membres du bureau : la trésorière Francine Braunstein, le secrétaire du bureau Claude Satinet et Katia Saint Ruf.
Dans sa mission, Femmes au-delà des mers a confié certaines tâches qui nécessitent un savoir-faire particulier à des prestataires. L’association a donc besoin de ressources en interne pour gérer les relations avec ces professionnels et superviser les projets. Femmes au-delà des mers doit constituer un vivier de référents pertinents pour la communication, les relations avec la presse, la recherche de fonds, les tâches administratives, etc.
Si vous souhaitez contribuer au développement de l’association, contactez-nous. Vous pouvez aussi soutenir FAM en faisant un don.